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Les droits ne sont pas donnés, ils sont acquis par la lutte

Yallah Gaza, tourné avant les évenements du 7 octobre, nous dévoile Gaza comme on ne nous la jamais montré dans les journaux. Loin des clichés de palstiniens tous terroristes comme le gouvernement Israelien, les politiques et journalistes aiment à les depeindre, Yallah Gaza aborde les aspects historiques, géopolitiques, parle de sionisme, de politique interne palestinienne, de Droit International, et des motifs d’espoir gazaouis.

Yallah Gaza , une ode à la résilience

Le documentaire tourné revient aux sources du conflit du Proche-Orient et immerge le spectateur dans la vie des habitants de la bande de Gaza. Il souligne l’appétit de vie, de paix des plus jeunes et la volonté de vivre normalement comme dans tout autre pays, libre, sur leur terres.

Le réalisateur interroge de nombreux acteurs palestiniens et israliens de confessions juives, chrétiennes et musulmanes ainsi que des experts, medecins ou journalistes occidentaux.

Il nous montre comment depuis le debut de l’Etat d’Israel, le sionisme a tout fait pour expulser les palestiniens de leur terre refusant tout vivre ensemble. La CIA avait alors averti des dérives futures mais malgré cela, les pays occidentaux ont cautionnés et cautionnent encore les actes inhumains (bombardement d’enfant, mutilations volontaires de manifestants désarmés - on peut faire un parallele avec la police francaise -, meutres -un amputé des deux jambes, dans son fauteuil roulant, est mort d’une balle dans la tête) perpetrés depuis pas l’état hebreux et Tsahal, interdisant aux palestiniens les droits et les valeurs occidentales qu’ils brandissent pourtant bien haut.

Les mensonges de l’etat hebreux sur le départ volontaire en 1948 des palestiniens de leurs terres, la présence de miliciens dans les écoles de l’UNWRA sont ainsi mis à mal.
La population, régulièrement bombardée, est maintenue dans une terreur permanente et sous blocus terrestre, maritime et aérien israélien.

Un film à voir absolument pour entendre un autre son de cloche que la vision de Nethanayou portée par les média et politiques francais.

Comme si on leur refusait toute humanité, Gaza se sent abandonné du monde mais… n’abandonne pas, mais l’opinion publique occidentale complice, elle, perd sa dignité.

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