2,7 : c’est la hausse globale de la température pour 2100 selon l’ONU avec le peu d’efforts consentis par les pays occidentaux. + 2,7 °¢ avec son cortège de conséquences délétères sur la bio-diversité, les évènements climatiques extrèmes et au final les conditions de vie au quotidien, pour nos enfants.
2,7 : c’est aussi le pourcentage qu’occupe cette question climatique dans les thèmes abordés par les candidats à l’élection présidentielle de 2022. 2.7 % du temps de parole pour aborder ces questions essentielles, avec le courage que l’on connait à nos hommes et femmes politiques.
Alors depuis quelques jours, des militant.e.s et activistes du pays Viennois alertent sur cette absence d’engagement alors que ce thème est une des premières préoccupations des français. Les portraits de Le Pen, Zemmour, Pecresse, et celui officiel de Macron, se voient recouverts de d’un avertissement salutaire et
Ces hommes et ses femmes politiques si enclain à légitimer la privatisation des services publics par la dette économique et financière, n’ont rien à faire de notre dette écologique au combien plus importante.
Pourquoi la droite préfère saborder l’hôpital, la justice, l’éducation, la sécurité plutôt que d’abolir les nombreux privilèges fiscaux ?
Pourquoi la droite si inquiète des dettes laissées aux futures générations ne s’empare-t-elle pas de cette question du boulversement climatique ?