Le jour de Noël, alors que la plupart des Européens se réjouissent en famille et entre amis, célébrant Noël avec joie et tradition, et que les enfants attendent avec impatience l’arrivée du Père Noël, des « chants de Noël » très différents ont pu être entendus en provenance de la mer au large des côtes européennes.
Au lieu d’un chant religieux joyeux célébrant la naissance du Christ, on pouvait entendre des appels à l’aide, des gens hurlant de peur dans le noir, ce qui n’aurait jamais pu être confondu avec quelque chose de joyeux.
Alors que les familles des officiers du navire des garde-côtes faisaient la fête chez elles, ceux-ci étaient dehors à infliger douleur, terreur et souffrance à ces âmes malheureuses qui avaient osé tenter de traverser la mer à la recherche de sécurité.
62 personnes, dont cinq petits enfants, ont été arrêtées par les gardes côtés.
Tout le monde à bord pensait avoir été secouru, mais le soulagement s’est rapidement transformé en désespoir, lorsque des hommes masqués ont commencé à leur retirer tous leurs biens, avant de les forcer à monter dans des radeaux de sauvetage au milieu de la mer.
Il semble que ce soit devenu une tradition de Noël pour les polices européennes et les politiques qui les soutiennent comme Retailleau ou Darmanin en France de brimer des gens qui cherchent refuge le jour de Noël, puis de rentrer chez eux et de faire la fête avec leurs familles.
Ces mêmes politiques qui défendent les racines et traditions chrétiennes de l’Europe et qui les foulent aux pieds (comme de nombreuses valeurs fondatrices de l’union européenne - démocratie, droits de l’homme, justice, état de droit) dès qu’ils le peuvent.
Ils restent même sourds aux appels du pape sur l’accueil des migrants ou le génocide à Gaza.
En mémoire de la naissance de Jésus-Christ